Parmi les nombreux détails à régler pour un séjour en Guadeloupe, c’est celui du transport une fois sur place, qui est le plus tracassant. Voici les solutions les plus pratiques, pour s’assurer une mobilité optimale sur cette charmante île.
La location de véhicule
Si vous souhaitez être libre de vos déplacements, la voiture s’impose inévitablement comme la meilleure solution pour votre séjour en Guadeloupe. Cela est encore plus inéluctable s’il s’agit d’un voyage en famille ou entre amis. Il est toutefois conseillé dans ce cas, de réserver plusieurs jours à l’avance. Vous vous doutez bien qu’il existe plusieurs agences de location de voiture. En réalité, vous aurez le temps de faire le constat une fois sur place, à quel point ce moyen de transport est indispensable. Concernant les prix pratiqués, il faut prévoir autour de 30 à 40 euros par jour avec l’avantage du kilométrage illimité. Il faut aussi prévoir de rendre le véhicule propre, ce qui est une exigence courante chez les loueurs guadeloupéens.
Vous pouvez consulter le site thriftyantilles.com , pour plus de détails.
Pour finir, il faut savoir que même s’il est possible de trouver de petites entreprises qui proposent des tarifs meilleur marché que les agences classiques, il vous faut garder à l’esprit d’éviter de tomber sur une arnaque ! Il est d’ailleurs, recommandé de passer par votre hôtel ou votre hôte pour louer une voiture pour votre séjour.
La solution classique du bus
Le transport par bus est aussi pratique et économique, pour découvrir le charme de l’île. Il vous faut toutefois, prendre le soin de vérifier les fréquences des principales lignes, notamment dans les offices de tourisme, les gares de départ, ou carrément auprès des chauffeurs eux-mêmes.
Il faut noter par ailleurs, que les bus sont moins nombreux les mercredis après-midi et les samedis après-midi, et qu’ils sont totalement hors-service les dimanches et les jours fériés. Enfin, notez également qu’à Saint-Martin, on trouve des minibus sur les routes principales, contrairement à Saint-Barth.
L’option risquée des scooters
Cette option est risquée, sauf pour ceux qui maîtrisent parfaitement la conduite du deux-roues. Il faut donc éviter l’excès de vitesse et faire attention au sable dans les virages, les rétrécissements soudains, les conducteurs ivres venant en face, mais surtout les dos-d’âne non matérialisés.
Malgré tous ces avertissements, si vous persistez à louer un scooter, prenez la peine de prendre votre permis, puisque cela devient obligatoire à partir de 80 cm3 de surface pour tout engin motorisé.
N’oubliez évidemment pas de bien vérifier l’éclairage (un détail que l’on a tendance à oublier quand on loue la bécane de jour), l’efficacité des freins, mais aussi l’état des pneus.